Une analyse menée sur les données de près de 30.000 sujets obèses enrôlés dans l’UK Biobank montre que par rapport aux sujets inactifs, ceux qui font de l’exercice présentent tous un bénéfice en termes de mortalité et pathologie cardiovasculaire, mais que les meilleurs résultats sont observés chez ceux qui font majoritairement leurs exercices en soirée.
Ainsi, par rapport aux inactifs, leur risque de mortalité est diminué en moyenne de 61% (HR 0,39 ; IC 95% 0,27-0,55) vs 40% (HR 0,60 ; IC 95% 0,51-0,71) pour la pratique dans l’après-midi et 33% (HR 0,67 IC 95% 0,56-0,79) pour la pratique dans la matinée.
Les résultats vont dans le même sens pour les événements cardiovasculaires et concernent également les sujets ayant un diabète de type 2.
Alors tant qu’à faire…