Cela n'est pas qu'une façon de parler, deux études viennent coup sur coup de montrer qu'un environnement riche en espaces verts et boisés a un impact sanitaire bénéfique tant sur le plan physique que mental. Ainsi, en utilisant le <a href="https://www.naturequant.com/naturescore" target="_blank" rel="noopener">NatureScore<sup>®</sup></a> pour apprécier la "verdeur" de l'environnement, une étude menée au Texas montre que les citadins qui sont plus exposés aux <b>espaces verts urbains</b> ont <a href="https://www.mdpi.com/1660-4601/21/2/168" target="_blank" rel="noopener">moins recours aux services de santé mentale</a>. Un autre travail mené sur les données de l'UK Biobank prouve que les sujets vivant dans les zones les plus vertes sont moins exposés à la <b>pollution par NO2 et PM2,5</b>, les arbres et végétaux agissant comme des filtres naturels. Et cela va de pair avec une meilleure densité osseuse et une <a href="https://ard.bmj.com/content/early/2024/01/16/ard-2023-224941" target="_blank" rel="noopener">moindre probabilité d'ostéoporose</a>. Il est fort probable que le fait de vivre dans un <b>environnement vert</b> encourage les promenades et les activités sportives.