Cela n’est pas qu’une façon de parler, deux études viennent coup sur coup de montrer qu’un environnement riche en espaces verts et boisés a un impact sanitaire bénéfique tant sur le plan physique que mental.
Ainsi, en utilisant le NatureScore® pour apprécier la “verdeur” de l’environnement, une étude menée au Texas montre que les citadins qui sont plus exposés aux espaces verts urbains ont moins recours aux services de santé mentale.
Un autre travail mené sur les données de l’UK Biobank prouve que les sujets vivant dans les zones les plus vertes sont moins exposés à la pollution par NO2 et PM2,5, les arbres et végétaux agissant comme des filtres naturels. Et cela va de pair avec une meilleure densité osseuse et une moindre probabilité d’ostéoporose. Il est fort probable que le fait de vivre dans un environnement vert encourage les promenades et les activités sportives.