Une équipe de Taïwan rapporte dans PLOS Medicine les résultats d’une étude de cohorte rétrospective montrant que les sujets atteints de psoriasis traités par des agents biologiques ont un risque cardiovasculaire moindre que ceux traités par des agents oraux.
Évidemment, il y a des nuances selon le type d’agents biologiques et selon les événements cardiovasculaires pris en considération, mais je ne les détaillerai pas…
Une façon que j’espère efficace pour vous inciter à utiliser ce lien et les découvrir (pour les plus pressés se concentrer sur Author Summary et Figures) et surtout, pour que vous preniez le temps de lire dans l’article lui-même le chapître Methods.
Il est remarquablement documenté et, à mon sens, correspond parfaitement à ce que l’on est en théorie en droit d’attendre pour ce type d’études afin d’en bien cerner l’utilité en pratique clinique.
Cerise sur le gâteau, cet article mentionne dans l’abstract et également dans le résumé des auteurs ce que je ne manque jamais d’affirmer “Association n’est pas causalité“.







