Cette vaccination ne se contente pas de diminuer le risque d'infection aiguë et de complications graves. Avoir reçu au moins une dose d'un <strong>vaccin contre la COVID-19</strong> avant d'être infecté va de pair avec un moindre risque de COVID-long, indique une étude publiée dans le BMJ. Les résultats basés sur l'analyse des données de 589.722 adultes en Suède montrent que les 290.030 non vaccinés sont <strong>presque quatre fois plus susceptibles de recevoir un diagnostic de COVID long</strong> que les 299.692 qui avaient été vaccinés avant une première infection par le SARS-CoV-2, respectivement 1,4% vs 0,4%. La réduction moyenne du risque observée dans la cohorte étudiée est de 58%. Les investigateurs précisent que l’intensité de la réduction s'accroît pour chaque dose reçue avant l’infection (effet dose-réponse). La réduction du risque est de 21% pour une dose, de 59% pour deux doses et de 73% pour 3 doses et plus. Tous les détails dans <a href="https://doi.org/10.1136/bmj-2023-076990" target="_blank" rel="noopener">l'article</a> et <a href="https://doi.org/10.1136/bmj.p2633" target="_blank" rel="noopener">l'éditorial d'accompagnement</a> qui sont tous deux téléchargeables en accès libre et gratuit.